Arrivée à cette gare à bon port. Il fait une chaleur torride et je n’avais rien à boire dans le train, aussi comme je reste 2h½ dans cette gare, je me suis jetée sans la buvette où je suis en train de boire un bock tout en t’écrivant.
Il y avait foule dans le train, nous étions 8 dans notre compartiment. J’ai quitté Paris avec beaucoup de chagrin, enfin j’espère que ça réussira. D’ici je t’envoie mes plus doux baisers,
Mino
PS : Je t’écris au son du bêlement de veau. C’est très intéressant. Ça m’habitue à la vie de campagne.